"Get them young and train them right": Negotiations in a VET partnership
DOI :
https://doi.org/10.56105/cjsae.v20i2.1107Résumé
This paper explores a high school apprenticeship program in Alberta, Canada, as an example of a market approach to vocational education and training (VET) through social partnership. While this program is seen as a win-win for students and employers, interviews with different partners suggest that there are continuing negotiations over who is responsible for training, who has access to formal training, who pays for it, what kind of knowledge is seen as necessary, how training is delivered, and how it is rewarded by employers. Power relations among the partners are indicated by the outcomes of negotiations and the lack of negotiation in certain areas relevant to effective training. Further, the lack of government incentives for partnership work appears to make programs that involve college training, however beneficial for students, difficult to sustain even in booming economic times.
RésuméCet article étudie un programme d’apprenti ayant cours en Alberta, Canada, qui se veut une façon de faire de l’insertion professionnelle et des stages en milieu de travail impliquant un partenariat social. Même si ce programme est perçu comme une situation gagnant-gagnant par l’employeur et l’étudiant, des entrevues avec différents partenaires laissent croire qu’il y a constamment des négociations à faire afin de savoir qui est responsable de la formation, qui a accès à la formation formelle, qui paie pour la formation, quelles connaissances sont considérées comme nécessaires, quel est le format de la formation et comment elle est reconnue par l’employeur. Des relations de pouvoir entre les partenaires transparaissent de la négociation et du manque de négociation dans certains domaines liés aux programmes de formation. En outre, le manque d’incitatifs gouvernementaux visant à développer le travail coopératif rend difficile la mise en place de programmes associés à une formation collégiale dans un contexte de prospérité économique, même s’ils sont bénéfiques pour les étudiants.
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