L'Art Communautaire, un Vecteur de Transformation Sociale pour les Femmes Judiciarerisées

Auteurs-es

  • Anne-Céline Genevois

DOI :

https://doi.org/10.56105/cjsae.v30i2.5460

Résumé

Il faudra attendre la montée des études féministes des années 1970 pour que des recherches sur la criminalité chez les femmes débutent. C’est en réponse à cette inégalité de services offerts aux femmes, en matière de nombre et de qualité, que la Société Elizabeth Fry du Québec (SEFQ) est créée en 1977. À cette époque, les organismes communautaires œuvrant auprès des femmes judiciarisées étaient quasi inexistants. La SEFQ travaille en détention et en communauté depuis quarante ans auprès des femmes judiciarisées. Elle a mis en place de nombreux services, dont la Maison de transition Thérèse-Casgrain. Toujours dans l’objectif de concevoir des services et des outils adaptés aux besoins de sa clientèle et dans le but de faire connaître ses réalités, la SEFQ expérimente depuis dix ans l’art communautaire.

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Publié-e

2018-07-17

Comment citer

Genevois, A.-C. (2018). L’Art Communautaire, un Vecteur de Transformation Sociale pour les Femmes Judiciarerisées. La Revue Canadienne Pour l’étude De l’éducation Des Adultes, 30(2). https://doi.org/10.56105/cjsae.v30i2.5460